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Ce blog comporte des textes mettant en scène des relations à caractères homosexuelles.
 Homophobes et compagnie je ne vous retient pas!

CaLeNdRiEr

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Désenchanté
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Désenchanté [2]
première MAJ de l'année, près de deux mois après la dernière (no comment) 

5/12

Plus rien à Perdre (11)

4
/12

Désanchanté ( Intro + [1])



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[ Projets ]



Do you go in for all that kind of stuff? (Os)

Yellow (Os en plusieurs parties)


Hytéria
(fiction yaoï [pour ne pas changer])

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Où en suis-je (réellement)?


Plus rien à perdre =>  rien écrit depuis la dernière MAJ mais ça carbure dans ma tête.
Désanchanté=> j'ai de quoi faire une dizaine de MAJ mais, j'attends encore pour une obscure raison.

Yellow=> un rêve -_-" que je vais sans doute transformer en ffic HPDM le jour où je l'aurais commencé
Do you go in for all that kind of stuff?=> Toujours en état de broullon illisible



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[ Info ]

ça se voit mais bon,
je le dis quand même,
j'ai modifié la mise en page du blog ^^









PS: désolée pour les fautes!
PS2: j'aime les commentaires ^^







Samedi 26 avril 6 26 /04 /Avr 01:46

 

C’est bien beau de jouer au glandeur, frimeur, emmerdeur de son état, mais il faut savoir aussi tirer sa révérence.  Et c’est ce que j’ai fais. J’ai tout plaqué.  Ou presque.Tout abandonné. Ou presque. Et pourquoi ? Pour me retrouver dans une salle d’attente au milieu d’inconnu dans une ville pas encore connue.

Je suis arrivé hier dans l’après midi. Après ce long et turbulent voyage, j’étais tellement crevé que, arrivé à l’appartement,  je me suis écroulé et endormis encore tout habillé sur le sofa. C’était atrocement inconfortable. Je me suis attrapé des bleus pas possibles et de surcroît, je me suis réveillé en retard.

Sans parler de l’heure que j’ai pris pour me repérer dans cette immense ville qu’est Los Angeles. A cause de ces incompétents de chauffeurs de taxi, j’ai atterris devant  l’immeuble de  I.D Corp. avec plus de trois heures de retard. Bon, j’avoue qu’il nétait pas si incompétent que ça. Enfin, pas au niveau sexuelle… Son petit cul m’a tenue bien au chaud durant de longues minutes dans une petite rue à l’écart… Ah… C’était un vrai bonheur. Rien qu’en y repensant, j’ai des chaleurs. Je jubile même.

Si un petit merdeux, mais mignon, taximan peut être aussi bon, je n’ose imaginer ce que peut bien valoir les autres ! Los angeles tu es à moi ! Du moins ces habitants, homme si possible. 

Pour revenir plus sérieusement à cet entretient, je n’aurais pas payer cher de ma futur place dans l’entreprise si je n’étais pas assuré d’y être retenu.

C’est à ces moments là que je remercie ma chère famille et sa richesse. Pas que je sois le genre de type qui renie sa richesse et joue au rebelle en essayant vainement de vivre normalement, non, c’est bien tout le contraire. J’adore, non, j’idolâtre la cuillère en or, sertie de diamants, qui m’est miraculeusement apparue dans la bouche quand je n’étais encore qu’un gosse. Il n’y a pas homme à plus aimé l’argent que moi. Je suis riche et j’aime l’être. J’aime le montrer, j’aime en faire l’utilisation. Sans retenue, sans barrière… Cupide. Je le suis et alors ?

Certain me trouvent tout les défauts du monde.  Moi je me trouve parfait avec tout plein de défauts.

Ce qu’en dis le monde de moi, je n’en ai strictement rien à foutre.

-         Mr Nade ?

La voix pincée de la secrétaire à qui je m’étais adressé peu avant me sort de mes pensées. Assise derrière son bureau, d’horribles lunettes de matrone sur le nez, elle me regarde de ses yeux incroyablement globuleux. Je prends un certain temps pour me rendre compte qu’elle désire me voire devant elle.

Avec toute la lenteur qu’il m’est donné de posséder, je me lève, m’étire, puis, dans un effort surhumain, je parcoure les quelques mètres qui me séparent d’elle. Je ne me suis toujours pas remis de mon monstrueux canapé. Dès que je rentre, je le change et en fait don au clochard que j’ai vu ce matin à quelques rues de mon appartement.

-         Oui ? demandais-je paresseusement en m’accoudant, me vautrant presque, sur l’étagère.

La vielle lève sa tête, me dévisage, l’air déranger par ma tenue. Je fais bien sûr comme si je n’avais pas compris et me penche un peu plus au dessus d’elle.

Elle grimace et résignée, elle me dit de me rendre dans le bureau de  Monsieur Stone qui va me recevoir et blala de choses que je n’ai pas écouté trop occupé à reluquer mon reflet dans la vitre du fameux bureau. Dans le genre beau gosse, je suis largement sur la première marche et ça, sans me venter, bien sûr. J’ai la peau incroyablement pâle et ce, malgré les heures  que je passe en UV, rien à faire. La seule chose qui me réconforte soit le fait qu’elle me donne un petit air de comte anglais, très sexy. Mes yeux d’un bleus singulièrement pâles en terrifie plus d’un, ils sont rares ceux qui arrivent à supporter mon regard. De long cils les entourent, me donnant, sois disant un faux air candide qui contraste toujours selon autrui avec mon caractère de « cochon ». Mouais… Je sui fin, élancé, un corps androgyne qui me convient parfaitement dans le rôle du petit dernier turbulent. Pour casser avec ce look qu’on me dit assez aristocrate ténébreux, j’ai teint mes cheveux dans un rouge sang très prononcé.  A ceux qui m’ont demandés la raison de mon geste, j’ai seulement expliqué que je cherchais à dénoncer l’abus du visionnage répétitif de films fantastique… Sans commentaires.

-         Vous avez bien tout compris ?

-         Euh…

La vérité ou le mensonge ?

-         Oui, bien sûr.

-         Bien répond-t-elle en me regardant suspicieusement.  Allez-y.

Je n’aime pas beaucoup le ton avec lequel elle a dit cette dernière phrase. Jai eu la drôle impression qu’elle m’ordonnait… Je déteste les ordres, à part quand c’est moi qui les donne.

Comment diable vais-je pouvoir travailler sous les ordres de quelqu’un ? Comme je le fais toujours, en n’en prenant pas compte. En n’en faisant qu’à mon bon vouloir.

Je sens que cette nouvelle vie sera marrante, très.

C’est avec un grand sourire jubilatoire que je pousse la porte en vitre à l’aide de mon pied, mes mains trop occupées avec le journal peoples que je feuillette.  Je l’avais complètement oublié dans la poche arrière de mon jean et c’est avec joie que je peux à présent m’informer sur la vie de mes amis les stars.

Je ris doucement à la vue d’une photo hilarante mettant en scène quelques unes de mes connaissances. Et dire que j’ai raté cette soirée hypra « in » à cause d’un coup de tête… Peut être aurais-je du y réfléchir à deux fois avant de prendre cette décision hâtive.

Un raclement de gorge un peu, beaucoup exagéré me fait lever la tête de mon occupation. Je tombe nez à nez avec un homme confortablement assit dans un siège noir en cuir. Non, j’ai en face de moi un dieu vivant. Il est magnifique, vraiment. Sur une échelle de 1 à 10, je lui mettrais… 9.5. Grand, musclé, la peau hâlée, des cheveux blond couleur blés tombant en désordre sur son front. Des yeux verts anis, une bouche munit de lèvres pulpeuses à souhait… Miam ! J’en mangerais et pas qu’un peu.

-         Je peux vous aider ? demande-t-il d’une voix froide et paradoxalement si sensuelle.

Oui, vous pouvez effectivement m’aider. J’ai une naissance de démangeaison en dessous de la ceinture et, je crois que votre bouche ou même seulement vos mains pourraient faire l’affaire.

A cette idée j’ai un sourire quelque peu lubrique. Très tentant…

Mon air ébahi semble l’irriter, je le vois s’agiter nerveusement et décide de sortir de mon admiration pour faire face à cette vision céleste et bandante.

-         Je suis venu pour le poste de designer répondis-je lentement, faisant ainsi attention à chaque mots qui me sortaient de la bouche.

J’ai en idée que si je ne le fait pas, des mots pourraient m’échapper et pas des moindres. Il valait mieux pour l’instant éviter de choquer mon interlocuteur.

-         Vous savez l’heure qu’il est ?

-         L’heure d’ici ?

Je me frappe mentalement de pouvoir sortir des phrases aussi connes.

-         Evidemment répond-t-il agacé en arquant un de ces sourcils.

-         Euh…

Je cherche, sans succès, une quelconque montre que j’aurais pu accrocher par m’égare à mon poignet ce matin. J’ai une sainte horreur de ces compteurs de temps. J’ai toujours cru, même si je ne sais pas du tout d’où me viens cette idée, que à trop faire attention au temps, le notre s’amoindrie plus qu’il ne le faut.

-         C’était une question qui n’attendait pas de réponse. Vous êtes sûr de ne pas vous être trompé de porte ?

Ah. Evidemment. Idiot va…

Encore une fois, je le prends au mot et me retourne en direction de la porte pour vérifier qu’il y est bien écrit « STONE » en lettres d’or dessus. Quand je repose à nouveau mes yeux sur lui, je m’aperçois de ma gourde. Il secoue légèrement la tête, se demandant sans doute quel est l’idiot qui lui a envoyé cet idiot. En l’occurrence, moi.

Peu importe qu’il me prenne pour un attardé mentale, la mine trop craquante qu’il affiche le vaut bien. J’admire son visage, le détaillant de toute part, ne ratant aucune parcelle. Tiens, il a un point de beauté au coin de l’œil gauche…

-         Votre nom ?

-         Quoi ? Euh… Comment ?

-         Votre nom ?

-         Mon nom ?

Pourquoi pas mon numéro de téléphone ou encore mieux, les dimensions de mon engin ? 

J’ai bien vite fait de me reprendre et de lui délivrer le fameux sésame qui, comme je l’attendais, le fait réagir.

-         Nade ? Comme le fameux Andrew Nade demande-il en lâchant des yeux le dossier qu’il consultait.

Je soupire exaspéré. Pourquoi fallait-il qu’on me compare toujours à ce type ? Il a le don de me mettre en rogne même quand son nom est dit par un illustre cousin d’apollon. Je n’ai plus du tout envi de fantasmer, ni même de continuer cette entrevue.  Comme toujours, tu as tout gâché.

-         Oui. Nade comme Andrew Nade, l’illustre, Andrew Nade. Et dans la famille Nade, je demande Soren, le petit dernier répondis-je sarcastique.

Mon changement de ton ne lui échappe pas et, pour la première fois depuis que je l’ai en face de moi, il semble me regarder d’une tout autre manière. Je ne saurais dire ce que cela signifiait, je me sens juste tout à coup mal à l’aise face à ce regard qui ne m’étais pas inconnu.

-         Sujet sensible questionne-t-il à ma grande surprise.

Je m’attendais à tout sauf à ça. Surtout à ce qu’il s’amuse encore, volontairement ou involontairement, à m’enfoncer encore plus dans ce rôle du parfait idiot. C'est-à-dire que je commence à m’y plaire ,maintenant que je remarque que sa mine exaspérée le rend encore plus sexe. Alors qu’il me prenne pour ce que je suis, qu’à moitié…

J’ignore sa question en m’installant confortablement dans l’un des fauteuils bleu nuit face à son bureau. Les jambes croisées, j’attends qu’il daigne continuer.

Le silence se fait dans la pièce. Il s’est re-penché dans l’exploration de son dossier tandis que moi, un peu plus serein, je recommence à le dévorer des yeux. Examinant chacun de ces gestes sans me soucier le moins du monde de l’insistance désagréable que mon attention peut avoir sur lui.

J’aurais tout aussi pu me remettre à lire les déboires de Brithney Spears, ou bien encore compter les mouches qui virevoltent autour de ma tête, mais bon… Cette sculpture vivante est tout aussi attractive si ce n’est plus.

-         Vous avez le privilège de savoir à qui vous avez affaire, ne serais ce pas juste que j’en ai de même ?

Ma question vient briser le silence, il arrête tout mouvement et me regarde dans un sourire moqueur. Un seul et unique mot sort de sa bouche : « STONE ».

 Et bam ! J’entends presque sa voix me redire ce petit « évidemment ».

Loin de me laisser m’abaisser encore une fois devant ma stupidité, parce que il faut le dire, j’ai vraiment été bête, j’ai envi de continuer dans ma lancer. Qui veut dire poser des questions bêtes sans paraître l’être réellement. J’excelle dans ce domaine. Et puis, pour une fois que je daigne former une si belle et longue phrase… En y repensant, il y a bien une chose qui l’est belle et longue…

Je croise le regard du blond qui a l’air de se demander si je n’ai pas quelque peu perdu la tête. C’est que je dois avec une drôle de tronche à sourire aussi igniarement…

J’ai envi de lui dire que non, que la seule chose qui puisse me faire perdre la tête, momentanément, ce serait de le voir nus me courir après avec une carafe de jus d’orange dans les mains. Oui, je sais, j’ai des fantasmes bizarres. Sans commentaires.

-         Et votre prénom ?

-         Quoi mon prénom ? demande-t-il sans pour autant quitter des yeux ces feuilles que j’aurais bien jeter rien que parce qu’elles m’empêchent de voir ses yeux si… Verts et pourtant si marrons.

-         On vous en a bien donné un, non ?

A moins qu’il ne soit l’un de ces androïdes créés par ces extra terrestres… Du coup, il aurait chopé un nom du genre J- 489895... Ce qui d’ailleurs ne m’étonnerais pas. Comment un être si magnifique pourrait exister sinon ?

Que suis-je bête ! Il y a moi, je suis belle et bien humain et canon.

Tic. Tac. Tic. Tac. Je tape du pied. Les minutes passent, il ne m’a pas répondu, il ne me regarde plus et ne semble même plus savoir que j’existe. Aurais-je oublié de lui dire qu’il s’agit d’une question qui demandait une réponse ? De sa part ? Et le plus vite possible ?

Lorsqu’il se décide à enfin lever la tête, c’est quand la porte s’ouvre violement et qu’entre sans ménagement un homme. Petit, gras, la calvitie, la cinquantaine bien entamé… bref, dans le genre des amis de mon très chère patriarche.

Il se dirige d’un pas décidé vers ce très cher Mr Stone manquant au passage de m’écraser le pied.

-         Tu veux bien me dire ce qui t’as pris de renvoyer Madame Inshi de cette manière ? demande-t-il en colère les mains appuyés sur le bureau. C’est l’une de nos plus grandes clientes !

-         Et alors ? Je ne crois pas que se soit une raison pour que j’accepte les avances de cette vieille peau répond le blond avec l’air de quelqu’un qui se remémore un mauvais souvenir. De toute façon, nous en avons bien d’autres gros clients pour éponger les pertes que l’annulation de son contrat pourrait amener…

-         Financièrement, mais sur le facteur humain, c’est presque le tiers de nos clients qu’elle pourrait rapatrier avec elle ! Tu imagines un peu ?

L’homme se met à tourner en rond, une main sous le menton et l’autre qui part dans tout les sens. Il parle, non, hurle. S’embrouille dans ses propos, expliquant mainte et mainte fois les risques que l’acte de Stone fait courir à la société et etc. Je le regarde s’agiter mi-amusé, mi-agacé, me demandant sil se rend compte que son interlocuteur ne l’écoute déjà plus et surtout, quand est ce qu’il va remarquer ma présence.

Stone, aussi irrité que moi se passe rageusement la main dans ses cheveux les rabattants encore un peu plus en arrière alors qu’ils l’étaient déjà grâce à la tonne exceptionnelle de gel qui semblait avoir atterrit dans ses mèches blondes. Je me demande soudain quelle odeur peut bien avoir ses mains à présent. Je voterais pour les fleurs d’orangés. Parce que j’adore ce parfum et que se serait inévitablement très excitant de…

-         Qui est ce ? veut-il savoir en me scrutant de ces deux grands yeux où brille encore sa rage entamée.

-         Monsieur Nade souffle mon blond préféré en jetant un discret regard sur moi.

-         Troisième du nom complétais-je en posant sans formalité mes pieds croisés sur le bureau juste à côté du pot de crayons.

-         Ah…

L’expression du bonhomme est passé en quelques minutes à peine de l’indigné à celui du lèche bottes impressionné, impressionnable. J’aime ça. L’effet que produit ce nom sur les gens est incroyable…

Il se gratte la tête, semble tout à coup gêné, sans doute de s’être aussi mal comporté devant moi. Sa colère est retombée d’un cran. Le silence à remplacer ses hurlements. Et moi je ris intérieurement. C’est à ce moment là que je peux dignement rentrer en scène… Que la fête commence.

Par Athenais - Publié dans : Upgrade You (fic )[en pause] - Communauté : Les Romances Explosives
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